15/11/2023, Lyon, HDJ dépendant de St-Jean de Dieu
Christine avec Jazz et Ubaye (Babaye), Françoise avec Tara
Quelques gouttes sur le pare-brise, puis éclaircie tout l’après-midi ! Nous avons de la chance … Babaye découvre Tara qui fait la fête à Jazz, mais lui au début aimerait bien jouer plus sportivement en posant sa patte … et sa truffe sur la miss qui n’a pas trop envie, il est quand même un peu gros ! Séance photo des trois lascars, pas facile encore, Tara ne bouge pas, un peu à distance quand même !
Nous sommes donc pile à l’heure et nous décidons de rejoindre l’étage du service tout de suite : Babaye a quelques difficultés à entrer dans l’ascenseur, Jazz ressort … mais avec une friandise et beaucoup d’encouragements, on y arrive ! Nous attendons quelques instants à l’étage, en compagnie de trois soignantes ou administratives très heureuses de papouiller ! Et voilà l’ascenseur qui s’ouvre sur les deux référentes et l’enfant : eux étaient descendus nous chercher par l’escalier !
L’enfant est seul encore aujourd’hui, pas encore de nouveau camarade dans l’activité. Nous proposons de ne pas former un cercle au centre de la pièce, mais d’éloigner certaines chaises vers les murs afin de rompre le parcours de l’enfant, rituel et trop répétitif, en frappant les murs tout autour de la salle … L’enfant est conduit à circuler de façon moins régulière, plus vivante, et comme il n’a pas peur des chiens, nous enlevons les laisses en surveillant l’allure calme des chiens. Les uns et les autres se côtoient calmement.
Tara adopte rapidement la position stratégique et sécurisée sur une chaise … mais se précipite joyeusement pour courir chercher un petit jouet que j’ai lancé.
Babaye vient discrètement taquiner Tara sur sa chaise, mais elle lui répond par des petits mordillements, dissuasifs aussi discrets, vers la truffe : échange normal pour un apprentissage des limites.
La référente essaye le Coucher-pas toucher, puis Mange, pour Tara juchée sur sa chaise … mais la place disponible n’est pas suffisante et l’enfant ne regarde pas l’ensemble de l’exercice. J’offre à l’enfant le petit sac qui contient tous les petits jouets pour chat et il les sort tous un par un. Les chiens les goûtent, mâchonnent un peu … Je les récupère ensuite, en préférant des ballons de peluche plus gros ! Si on donne une friandise à l’enfant en lui proposant de la donner à tel ou tel chien, il se dirige vers ce chien et la laisse tomber près de lui.
J’essaie de faire sauter Tara par dessus Jazz, pendant que l’enfant regarde grâce aux bras enveloppants de la référente. Puis sauter par dessus Jazz, et ensuite Babaye qui accepte aussi sans problème. Exercice qu’on pourra renouveler, tant mieux !
Nous sortons dans le couloir, avec le tunnel. Jazz et Tara acceptent sans souci de le traverser, l’enfant aussi … Puis il court avec Jazz en laisse, puis avec Tara … pendant que Babaye se repose !
Au retour dans la salle, l’enfant est rapidement fatigué, Christine demande à l’enfant de s’asseoir à côté de Babaye qui se repose couché. Il pose sa main sur la tête du chien. Puis bientôt, il pose ses mains sur ses propres oreilles, puis crie vers nous au maximum de sa voix tout un discours que nous ne comprenons pas malheureusement.
Je lui demande s’il veut m’aider à ranger, il me répond distinctement Non ! Pas grave, c’est bien qu’il se soit exprimé et fait comprendre. Pour se dire au revoir, il répète souvent docilement Au revoir. Je lui propose de faire un « shake » dans la main, les enfants souvent aiment bien. Il accepte et il tape dans ma main, puis celle de Christine. Pour un enfant qui n’est pas facilement tactile, c’est vraiment bien.
Pour reprendre l’ascenseur, Babaye a encore un arrêt net … on sort le fromage et avec l’aide d’une personne bienveillante qui nous tient la porte ouverte tandis que je tiens Jazz et Tara au fond de la grande cabine, et nos sacs et poussette … c’est bon : grosse récompense à l’intérieur ! Sortir de l’ascenseur est un peu plus facile, mais pas aussi évident qu’on pourrait croire pour Babaye.
De nouveau dans le parc, nous laissons gambader nos chiens et Christine sort le « tug » ou scoubidou en polaire. Jazz s’en saisit fièrement, Babaye le poursuit, mais doit apprendre à s’en saisir et à tirer : Christine l’aide au début. Tara est montée en voiture et observe sans s’en mêler ! Une séance beaucoup plus apaisée que la semaine dernière et je suis contente du comportement de Tara qui comme Oki ne craint personne … sauf peut-être un peu le gros bébé de 6 mois et 35 kg, qui heureusement est vite calme.
Françoise
L’enfant est seul encore aujourd’hui, pas encore de nouveau camarade dans l’activité. Nous proposons de ne pas former un cercle au centre de la pièce, mais d’éloigner certaines chaises vers les murs afin de rompre le parcours de l’enfant, rituel et trop répétitif, en frappant les murs tout autour de la salle … L’enfant est conduit à circuler de façon moins régulière, plus vivante, et comme il n’a pas peur des chiens, nous enlevons les laisses en surveillant l’allure calme des chiens. Les uns et les autres se côtoient calmement.
Tara adopte rapidement la position stratégique et sécurisée sur une chaise … mais se précipite joyeusement pour courir chercher un petit jouet que j’ai lancé.
Babaye vient discrètement taquiner Tara sur sa chaise, mais elle lui répond par des petits mordillements, dissuasifs aussi discrets, vers la truffe : échange normal pour un apprentissage des limites.
La référente essaye le Coucher-pas toucher, puis Mange, pour Tara juchée sur sa chaise … mais la place disponible n’est pas suffisante et l’enfant ne regarde pas l’ensemble de l’exercice. J’offre à l’enfant le petit sac qui contient tous les petits jouets pour chat et il les sort tous un par un. Les chiens les goûtent, mâchonnent un peu … Je les récupère ensuite, en préférant des ballons de peluche plus gros ! Si on donne une friandise à l’enfant en lui proposant de la donner à tel ou tel chien, il se dirige vers ce chien et la laisse tomber près de lui.
J’essaie de faire sauter Tara par dessus Jazz, pendant que l’enfant regarde grâce aux bras enveloppants de la référente. Puis sauter par dessus Jazz, et ensuite Babaye qui accepte aussi sans problème. Exercice qu’on pourra renouveler, tant mieux !
Nous sortons dans le couloir, avec le tunnel. Jazz et Tara acceptent sans souci de le traverser, l’enfant aussi … Puis il court avec Jazz en laisse, puis avec Tara … pendant que Babaye se repose !
Au retour dans la salle, l’enfant est rapidement fatigué, Christine demande à l’enfant de s’asseoir à côté de Babaye qui se repose couché. Il pose sa main sur la tête du chien. Puis bientôt, il pose ses mains sur ses propres oreilles, puis crie vers nous au maximum de sa voix tout un discours que nous ne comprenons pas malheureusement.
Je lui demande s’il veut m’aider à ranger, il me répond distinctement Non ! Pas grave, c’est bien qu’il se soit exprimé et fait comprendre. Pour se dire au revoir, il répète souvent docilement Au revoir. Je lui propose de faire un « shake » dans la main, les enfants souvent aiment bien. Il accepte et il tape dans ma main, puis celle de Christine. Pour un enfant qui n’est pas facilement tactile, c’est vraiment bien.
Pour reprendre l’ascenseur, Babaye a encore un arrêt net … on sort le fromage et avec l’aide d’une personne bienveillante qui nous tient la porte ouverte tandis que je tiens Jazz et Tara au fond de la grande cabine, et nos sacs et poussette … c’est bon : grosse récompense à l’intérieur ! Sortir de l’ascenseur est un peu plus facile, mais pas aussi évident qu’on pourrait croire pour Babaye.
De nouveau dans le parc, nous laissons gambader nos chiens et Christine sort le « tug » ou scoubidou en polaire. Jazz s’en saisit fièrement, Babaye le poursuit, mais doit apprendre à s’en saisir et à tirer : Christine l’aide au début. Tara est montée en voiture et observe sans s’en mêler ! Une séance beaucoup plus apaisée que la semaine dernière et je suis contente du comportement de Tara qui comme Oki ne craint personne … sauf peut-être un peu le gros bébé de 6 mois et 35 kg, qui heureusement est vite calme.
Françoise
