17/01/2024, Lyon, HDJ dépendant de St-Jean de Dieu, enfants
Christine avec Ubaye, Françoise avec Oki
Temps doux, mais pluvieux, nous arrivons juste avant que ça se gâte (au retour, on s’en moque), mais pas de photo d’Ubaye … J’ai proposé des friandises à Oki pour que l’arrivée d’Ubaye soit plus positive et sans grognement : réussite, d’autant plus qu’une jeune fille en attente de ses soins vient la caresser. Oki a trop longtemps travaillé seule (par la force des circonstances) à la différence de Pomme plongée d’emblée dans le groupe des visiteurs … alors il faut de la patience pour qu’elle soit tout à fait à l’aise. Patience ! Par chance, aucun des chiens de Christine ne sont réactifs, et on s’améliore doucement, toujours mieux en fin de séance.
Hécatombe chez nos référents habituels, nous retrouvons un éducateur que je connais depuis longtemps ici, que nous avions retrouvé à St-Cyr l’an dernier, avant qu’il obtienne sa mutation ici : c’est donc l’occasion de lui donner des nouvelles des enfants de St-Cyr. Et l’informer de notre nouvelle tactique : laisser le plus d’autonomie possible à l’enfant. Son compagnon de la semaine dernière est encore en phase d’observation dans d’autres activités …
Ubaye évolue librement, je garde Oki en laisse, Christine propose des friandises à l’enfant qui en offre à chaque chien, le temps de faire le tour de la salle à chaque fois … Oki est très intéressée ! Mais la concurrence sur les friandises ne serait pas positive, alors je la freine et la récompense moi-même. Parfois, c’est Oki qui y va, Ubaye préférant parfois rester couché.
L’enfant joue aussi avec un grand tunnel souple, Oki y entre parfois, puis revient vers moi. Christine brosse Ubaye, puis tend la brosse à l’enfant et il s’exécute de façon vigoureuse, je lui propose une autre brosse, et il fait de même pour Oki … On pourrait croire que rien ne se passe, mais l’enfant regarde souvent les chiens, observe leurs déplacements, et alors qu’il marche consciencieusement sur les jouets (en particulier après avoir vidé le sac de matériel), il passe précautionneusement entre les pattes d’Ubaye bien vautré pour se reposer.
Il regarde attentivement Christine, puis moi, puis Christine … On a l’impression qu’il nous distingue attentivement pour la première fois. Plus tard, lors d’un énième tour de la salle, il me saute sur les genoux : séquence câlins partagés !
Depuis que nous le laissons évoluer et observons ses interactions, il ne se frappe plus aux murs ni sur les vitres, il ne crie pas … pendant toute la séance. Peu avant la fin de l’heure, on lui propose de promener les chiens dans le couloir, d’abord Oki qui connaît bien l’exercice, mais l’enfant n’a pas envie de courir, puis Ubaye, qui arrivé au miroir aboie gravement vers son image ! On remarque que pendant toute l’heure l’enfant n’a pas ôté ses chaussures (souvent il ôte même les chaussettes) … dommage de les retirer maintenant juste avant l’heure des taxis ! Il a besoin de l’éducateur pour renfiler la première, mais à l’évocation des taxis, la seconde passe toute seule.
Ubaye et bientôt Oki aussi se couchent pendant que nous bavardons avec les soignants du service, après le départ de l’enfant … nos chiens apprennent rapidement qu’une conversation au sujet des chiens peut durer, durer, durer …
Temps doux, mais pluvieux, nous arrivons juste avant que ça se gâte (au retour, on s’en moque), mais pas de photo d’Ubaye … J’ai proposé des friandises à Oki pour que l’arrivée d’Ubaye soit plus positive et sans grognement : réussite, d’autant plus qu’une jeune fille en attente de ses soins vient la caresser. Oki a trop longtemps travaillé seule (par la force des circonstances) à la différence de Pomme plongée d’emblée dans le groupe des visiteurs … alors il faut de la patience pour qu’elle soit tout à fait à l’aise. Patience ! Par chance, aucun des chiens de Christine ne sont réactifs, et on s’améliore doucement, toujours mieux en fin de séance.
Hécatombe chez nos référents habituels, nous retrouvons un éducateur que je connais depuis longtemps ici, que nous avions retrouvé à St-Cyr l’an dernier, avant qu’il obtienne sa mutation ici : c’est donc l’occasion de lui donner des nouvelles des enfants de St-Cyr. Et l’informer de notre nouvelle tactique : laisser le plus d’autonomie possible à l’enfant. Son compagnon de la semaine dernière est encore en phase d’observation dans d’autres activités …
Ubaye évolue librement, je garde Oki en laisse, Christine propose des friandises à l’enfant qui en offre à chaque chien, le temps de faire le tour de la salle à chaque fois … Oki est très intéressée ! Mais la concurrence sur les friandises ne serait pas positive, alors je la freine et la récompense moi-même. Parfois, c’est Oki qui y va, Ubaye préférant parfois rester couché.
L’enfant joue aussi avec un grand tunnel souple, Oki y entre parfois, puis revient vers moi. Christine brosse Ubaye, puis tend la brosse à l’enfant et il s’exécute de façon vigoureuse, je lui propose une autre brosse, et il fait de même pour Oki … On pourrait croire que rien ne se passe, mais l’enfant regarde souvent les chiens, observe leurs déplacements, et alors qu’il marche consciencieusement sur les jouets (en particulier après avoir vidé le sac de matériel), il passe précautionneusement entre les pattes d’Ubaye bien vautré pour se reposer.
Il regarde attentivement Christine, puis moi, puis Christine … On a l’impression qu’il nous distingue attentivement pour la première fois. Plus tard, lors d’un énième tour de la salle, il me saute sur les genoux : séquence câlins partagés !
Depuis que nous le laissons évoluer et observons ses interactions, il ne se frappe plus aux murs ni sur les vitres, il ne crie pas … pendant toute la séance. Peu avant la fin de l’heure, on lui propose de promener les chiens dans le couloir, d’abord Oki qui connaît bien l’exercice, mais l’enfant n’a pas envie de courir, puis Ubaye, qui arrivé au miroir aboie gravement vers son image ! On remarque que pendant toute l’heure l’enfant n’a pas ôté ses chaussures (souvent il ôte même les chaussettes) … dommage de les retirer maintenant juste avant l’heure des taxis ! Il a besoin de l’éducateur pour renfiler la première, mais à l’évocation des taxis, la seconde passe toute seule.
Ubaye et bientôt Oki aussi se couchent pendant que nous bavardons avec les soignants du service, après le départ de l’enfant … nos chiens apprennent rapidement qu’une conversation au sujet des chiens peut durer, durer, durer …
