25/11/2024, Saint-Cyr, EHPAD Domaine de la Chaux Croix-Rouge
Christine avec Jazz, Françoise avec Mousse et Tara
Vent puissant, des rafales étonnantes … des branches cassées aussi, et une température stupéfiante : 18° me dit la voiture, alors qu’il a gelé à – 4°deux nuits auparavant. Je me gare en dehors des arbres … sait-on jamais.
Quand nous arrivons dans la salle, surprise : nous sommes attendues par un cercle conséquent de personnes, en fauteuil roulant ou non, mais le nombre ! Plus d’une quinzaine de résidents (un seul résident en fait, toutes les autres au féminin, mais la grammaire ...), plus les accompagnatrices. Je fais part immédiatement de ma réaction auprès de la référente : « Nous sommes en secteur EHPAD et beaucoup voulaient venir, plus quelques résidentes du secteur Alzheimer. » C’est trop quand même, pas le temps d’accorder à chacun et chacune l’attention nécessaire et une grosse fatigue pour les chiens (et nous). J’explique posément, et j’y reviendrai en fin de séance sur la nécessité de choisir. Je lui raconte en particulier une première visite infernale vécue dans nos débuts, un cercle plus grand et des résidents sur trois rangs … (après mise au point, les visites suivantes avaient été parfaites). Quand les fauteuils, roulants ou pas, sont à touche-touche, difficile d’approcher avec le chien … et risque de frustration pour certains résidents.
Ici, une grande partie des participantes venant de l’EHPAD ont encore toute leur tête, aussi elles observent et écoutent nos conversations même quand nous sommes à l’autre bout du cercle … donc ça se passe bien. Malgré les fauteuils trop proches qui empêchent de présenter le chien latéralement … Un effort devrait être fait à la prochaine visite.
Tara peut rester sur les genoux de ceux qui le désirent, avec un plaid de protection, elle est vive dans les jeux, un peu curieuse de visiter aussi, surtout quand deux personnes au fond de la salle construisent un décor de Noël avec des branches et de la peinture blanche en bombe … et se couchant en retrait devant la porte quand elle estime que la séance est terminée !
Jazz s’approche pour des caresses, montre ses capacités de rapport et son impatience rapide mais efficace sur les jeux … et même prouve qu’il n’a pas oublié les exercices d’obérythmée qu’il exécute avec plaisir !
Mousse préfère surtout les caresses et abandonne les jeux à Tara, elle court quand même chercher sa trousse ! … et il n’est pas besoin de se baisser pour la caresser, elle préfère ça.
Une résidente que nous avons déjà rencontrée est non voyante et se met à rire de bon coeur : elle a pris ma main (qui guidait Mousse) en croyant saisir la patte de la chienne ... Eh non ! Je ne suis pas si poilue ! Son hilarité redouble. D’autres résidentes racontent leurs souvenirs, leurs propres anecdotes, un chien ayant parcouru 60 kilomètres pour rentrer chez lui, les habitudes de leurs compagnons ...
Nous rappelons la nécessité de limiter le nombre de présents. Les résidentes ont beaucoup apprécié, le seul résident semble un peu perdu quand nous saluons revoir chacun à son tour … et nous retrouvons l’air bien venté avec plaisir.
Françoise
Vent puissant, des rafales étonnantes … des branches cassées aussi, et une température stupéfiante : 18° me dit la voiture, alors qu’il a gelé à – 4°deux nuits auparavant. Je me gare en dehors des arbres … sait-on jamais.
Quand nous arrivons dans la salle, surprise : nous sommes attendues par un cercle conséquent de personnes, en fauteuil roulant ou non, mais le nombre ! Plus d’une quinzaine de résidents (un seul résident en fait, toutes les autres au féminin, mais la grammaire ...), plus les accompagnatrices. Je fais part immédiatement de ma réaction auprès de la référente : « Nous sommes en secteur EHPAD et beaucoup voulaient venir, plus quelques résidentes du secteur Alzheimer. » C’est trop quand même, pas le temps d’accorder à chacun et chacune l’attention nécessaire et une grosse fatigue pour les chiens (et nous). J’explique posément, et j’y reviendrai en fin de séance sur la nécessité de choisir. Je lui raconte en particulier une première visite infernale vécue dans nos débuts, un cercle plus grand et des résidents sur trois rangs … (après mise au point, les visites suivantes avaient été parfaites). Quand les fauteuils, roulants ou pas, sont à touche-touche, difficile d’approcher avec le chien … et risque de frustration pour certains résidents.
Ici, une grande partie des participantes venant de l’EHPAD ont encore toute leur tête, aussi elles observent et écoutent nos conversations même quand nous sommes à l’autre bout du cercle … donc ça se passe bien. Malgré les fauteuils trop proches qui empêchent de présenter le chien latéralement … Un effort devrait être fait à la prochaine visite.
Tara peut rester sur les genoux de ceux qui le désirent, avec un plaid de protection, elle est vive dans les jeux, un peu curieuse de visiter aussi, surtout quand deux personnes au fond de la salle construisent un décor de Noël avec des branches et de la peinture blanche en bombe … et se couchant en retrait devant la porte quand elle estime que la séance est terminée !
Jazz s’approche pour des caresses, montre ses capacités de rapport et son impatience rapide mais efficace sur les jeux … et même prouve qu’il n’a pas oublié les exercices d’obérythmée qu’il exécute avec plaisir !
Mousse préfère surtout les caresses et abandonne les jeux à Tara, elle court quand même chercher sa trousse ! … et il n’est pas besoin de se baisser pour la caresser, elle préfère ça.
Une résidente que nous avons déjà rencontrée est non voyante et se met à rire de bon coeur : elle a pris ma main (qui guidait Mousse) en croyant saisir la patte de la chienne ... Eh non ! Je ne suis pas si poilue ! Son hilarité redouble. D’autres résidentes racontent leurs souvenirs, leurs propres anecdotes, un chien ayant parcouru 60 kilomètres pour rentrer chez lui, les habitudes de leurs compagnons ...
Nous rappelons la nécessité de limiter le nombre de présents. Les résidentes ont beaucoup apprécié, le seul résident semble un peu perdu quand nous saluons revoir chacun à son tour … et nous retrouvons l’air bien venté avec plaisir.
Françoise